« À partir de données issues des inventaires nationaux français, espagnol et finlandais, des chercheurs ont modélisé la probabilité de mortalité de 40 espèces d’arbres européennes sur base de différents caractères ».
Les plus fragiles sont les résineux et les essences à croissance rapide (ayant moins de densité) – soit les principales essences de production. Malheueusement l’article ne se réfère pas aux équilibres naturels / résilience de nos forêts.